Accueil

Team Eunomie

Se taire, c’est laisser faire

L’eure des mômes

jours
heures
Minutes
Secondes
Qui sommes nous?
 
La Team Eunomie est une association loi 1901,
active depuis le 1er décembre 2019 dans la lutte 
contre la cyber-pédocriminalité.
En savoir plus

Traqueurs ? Hors-la-loi ? Nous vous expliquons ici l’essentiel de nos actions afin de clarifier notre rôle.

Vous avez envies de lutter contre les pédocriminels sur les réseaux sociaux légalement, qu’attendez vous ? rejoignez-nous !

Article 227-22-1

Créé par Loi n°2007-297 du 5 mars 2007 – art. 35 JORF 7 mars 2007

Créé par Loi n°2007-297 du 5 mars 2007 – art. 35

Le fait pour un majeur de faire des propositions sexuelles à un mineur de quinze ans ou à une personne se présentant comme telle en utilisant un moyen de communication électronique est puni de deux ans d’emprisonnement et de 30 000 euros d’amende.

Ces peines sont portées à cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende lorsque les propositions ont été suivies d’une rencontre.

Article 73

Modifié par Loi n°2014-535 du 27 mai 2014 – art. 1

Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d’une peine d’emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l’auteur et le conduire devant l’officier de police judiciaire le plus proche. 

Lorsque la personne est présentée devant l’officier de police judiciaire, son placement en garde à vue, lorsque les conditions de cette mesure prévues par le présent code sont réunies, n’est pas obligatoire dès lors qu’elle n’est pas tenue sous la contrainte de demeurer à la disposition des enquêteurs et qu’elle a été informée qu’elle peut à tout moment quitter les locaux de la police ou de gendarmerie. Le présent alinéa n’est toutefois pas applicable si la personne a été conduite, sous, contrainte, par la force publique devant l’officier de police judiciaire. 

Article 15-3

Modifié par LOI n°2019-222 du 23 mars 2019 – art. 42

Les officiers et agents de police judiciaire sont tenus de recevoir les plaintes déposées par les victimes d’infractions à la loi pénale, y compris lorsque ces plaintes sont déposées dans un service ou une unité de police judiciaire territorialement incompétents. Dans ce cas, la plainte est, s’il y a lieu, transmise au service ou à l’unité territorialement compétents.
Tout dépôt de plainte fait l’objet d’un procès-verbal et donne lieu à la délivrance immédiate d’un récépissé à la victime, qui mentionne les délais de prescription de l’action publique définis aux articles 7 à 9 ainsi que la possibilité d’interrompre le délai de prescription par le dépôt d’une plainte avec constitution de partie civile, en application de l’article 85. Si elle en fait la demande, une copie du procès-verbal lui est immédiatement remise. Les officiers ou agents de police judiciaire peuvent s’identifier dans ce procès-verbal par leur numéro d’immatriculation administrative. 

 

Article 434 -1 du code pénal:  Le fait, pour quiconque ayant connaissance d’un crime dont il est encore possible de prévenir ou de limiter les effets, ou dont les auteurs sont susceptibles de commettre de nouveaux crimes qui pourraient être empêchés, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.

 

Et 434-3 du code pénal : Le fait, pour quiconque ayant eu connaissance de privations, de mauvais traitements ou d’agressions ou atteintes sexuelles infligés à un mineur ou à une personne qui n’est pas en mesure de se protéger en raison de son âge, d’une maladie, d’une infirmité, d’une déficience physique ou psychique ou d’un état de grossesse, de ne pas en informer les autorités judiciaires ou administratives est puni de trois ans d’emprisonnement et de 45 000 euros d’amende.
Sauf lorsque la loi en dispose autrement, sont exceptées des dispositions qui précèdent les personnes astreintes au secret dans les conditions prévues par l’article 226-13.